Catalogue CD

Suite du n° 9022 « L’amie prodigieuse : 1 : Enfance, adolescence » Deuxième volet de la saga d’Elena Ferrante qui a débuté à la fin des années cinquante avec l’enfance et le début de l’adolescence de deux amies, Elena et Lila, qui vivent dans un quartier pauvre de Naples. On les retrouve à 16 ans, alors que leurs destins vont bifurquer. Tandis que Lila se marie et reste à Naples, ville miséreuse et mafieuse, gangrenée par la Camorra et où le déterminisme social n'est pas un vain mot, Elena, l'intellectuelle, continue ses études et quitte la ville. Les deux jeunes filles choisissent ainsi un destin bien différent pour tenter d'échapper à la pauvreté des bas quartiers et à la soumission patriarcale.

Tournant le dos à des études qui semblaient leur sourire, deux jeunes gens décident de redonner vie à un village corse et en reprennent le café. Mais face aux rêves et aux ambitions, la « tragique propension de l’âme humaine à se corrompre » est la plus forte... A travers la destinée des personnages, l’auteur raconte la naissance, l'apogée puis la fin d'un monde (entreprise humaine) ou plutôt des mondes qui se succèdent sur plusieurs générations et ont en commun leur tragique destinée...

L'auteur tente de retracer l’histoire de l’humanitaire. Il propose quelques éléments historiques pour rappeler la naissance d’une idée pour laquelle beaucoup de personnes s’engagent.

Un continuel va-et-vient entre le général et le particulier, tel est le principe de ce livre. La crise, disséquée par l’historien, devient alors une succession de destins particuliers de « miniatures de l’histoire qui sont susceptibles d’éclairer le fonctionnement des sociétés ». M. Ferro liste ces « crises » : la révolution bolchevique, la montée du nazisme en Allemagne, les années d’occupation, la guerre d’Algérie, les crises économiques.

Extrait : « Quel est le sens profond des mythes grecs et pourquoi faudrait-il aujourd'hui encore s'y intéresser ? La réponse se trouve à mes yeux dans un passage d'une des oeuvres les plus connues et les plus anciennes de la langue grecque, l'Odyssée d'Homère. On y mesure d'emblée à quel point la mythologie n'est pas ce qu'on croit si souvent de nos jours, une collection de "contes et légendes"... Loin de se réduire à un divertissement littéraire, elle constitue en vérité le coeur de la sagesse antique, l'origine première de ce que la grande tradition de la philosophie grecque va bientôt développer sous une forme conceptuelle en vue de définir les contours d'une vie réussie pour les mortels que nous sommes. »

Recueils de mots et d'anecdotes du pape Jean XXIII

Il y a très longtemps, les elfes étaient un peuple puissant et redouté des hommes, des êtres pleins de grâce, à la peau d'un bleu très pâle, qui savaient encore maîtriser les forces obscures de la nature.

Jean-Louis Fetjaine se propose de raconter la vie de Merlin dans une épopée historique qui se déroule sur l’île de Bretagne au VIème siècle, époque où Saxons, Gaëls, Pictes, Scots et autres Bretons se livrent des combats acharnés. Après la mort du roi Guendoleu, son jeune barde Merlin se trouve plongé malgré lui dans un terrible complot. Accusé de sorcellerie et banni, il n’a de cesse de percer le secret qui pèse sur ses origines. Y parviendra-t-il au cours du véritable voyage initiatique qu’il effectuera au coeur de la forêt ? « Le Pas de Merlin » nous entraîne dans un monde envoûtant et magique où cohabitent le merveilleux et la cruauté.

Un soir de 1699, Philippe de Nevers est assassiné par le prince de Gonzague, qui épouse ensuite sa veuve, jouissant ainsi de la fortune de sa victime. Mais un homme veille dans l'ombre : c'est Lagardère, qui a recueilli en secret Aurore, la fille de Nevers. Dès lors, il ne ménagera pas ses efforts, allant jusqu'à se déguiser en bossu pour confondre l'assassin et restituer à Aurore le nom et la fortune qui lui sont dus.

Roman de cape et d’épée qui reprend les aventures du chevalier de Lagardère au moment du bal donné par le Régent au Palais-Royal, où Lagardère va enfin pouvoir rencontrer la mère d’Aurore de Nevers...

Personnage étudié : Theodora (impératrice de Byzance ; 0500-0548)